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PREUVES
Koka Ramishvili, Roman Signer, Bernard Voïta 13 Mai - 5 Juin 2020L'exposition Preuves présente un ensemble de photographies de Koka Ramishvili, Roman Signer et Bernard Voïta, réunies par leur nature de traces « tangibles » de performances et installations.Lire plus
Chacune des images produites suppose au préalable la création d'un environnement - montage fait en amont de la photographie et non en post-production -, ou la réalisation d'une performance dont la photographie serait le seul témoignage. Les œuvres évoqueraient ainsi, sous trois formes, le statut de la photographie générée par des actes et non des retouches. -
NOCTURNE DES GALERIES - PARIS
SWISS ARTISTS GROUP SHOW 17 Octobre - 16 Novembre 2019La FIAC organise la Nocturne des Galeries. Ce moment fort, qui rassemble plus d'une centaine de galeries chaque année, est l'occasion pour les visiteurs de découvrir les galeries parisiennes autrement. Vernissages, rencontres d'artistes et visites d'exposition d'art et de design sont autant de prétextes à une traversée noctambule de la capitale. Retrouvez le détail du programme de la Nocturne des Galeries: https://www.fiac.com/agenda/nocturne-des-galeries/Lire plus -
SELECTED LANDSCAPES
Koka Ramishvili 12 Septembre - 9 Novembre 2019La galerie Laurence Bernard est heureuse de présenter pour la troisième fois une exposition personnelle de l'artiste Koka Ramishvili. Consacrée à la peinture, l'exposition Selected Landscapes, regroupe oeuvres récentes et plus anciennes, présentées en séries et poursuivant le travail de l'artiste sur la représentation « en glissement » : tronquées, vues en mouvement, les images possèdent en puissance leur propre potentiel de déconstruction. Les recherches de Ramishvili sur la diffraction de la lumière, la résonance physique de couleurs aux références symbolistes ou mystiques, ouvrent des perspectives nouvelles dans cette pratique marquée par le refus des limites du cadre.Lire plus -
ICI, ÉDEN
Exposition collective 4 Juillet - 4 Septembre 2019Ici, ÉdenLire plus
Exposition collective sous le commissariat d'Audrey Teichmann avec des oeuvres de Marion Baruch, Les Frères Chapuisat, Caroline Corbasson, Karim Forlin, Koka Ramishvili, Peter Regli, Stéphane Thidet et Bernard Voïta.
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ARTGENÈVE 2019, PALEXPO GENEVA
Marion Baruch, La Vie en Rose Prix du meilleur solo show F.P. Journée 2019 Galerie Laurence Bernard, Genève 31 Janvier - 3 Février 2019artgenève, salon consacré à l’art contemporain, a ouvert ses portes du 31 janvier au 3 février 2019 à Palexpo Genève. Le Prix Solo artgenève - F.P.Journe a récompensé la meilleure...Lire plus -
ARTGENÈVE 2018, PALEXPO GENEVA
STAND / BOOTH B43 1 - 4 Février 2018Artistes présentés / Exhibited artists::Lire plus
Barbezat-Villetard, Les Frères Chapuisat, Caroline Corbasson, Karim Forlin, Angelika Markul, Koka Ramishvili, Peter Regli, Stéphane Thidet, Didier Vermeiren, Bernard Voïta. -
3 YEARS
ANNIVERSARY GROUP SHOW 14 Septembre - 21 Octobre 2017Exposition collective réunissant les artistes de la programmation: Marion Baruch | Les Frères Chapuisat | Caroline Corbasson | Karim Forlin | Séverine Hubard | Jan Kopp | Angelika Markul | Bertrand Planes | Koka Ramishvili | Peter Regli | Marion Tampon-Lajarriette | Stéphane Thidet | Bernard VoïtaLire plus -
PARÉIDOLIE 2017, SALON INTERNATIONAL DU DESSIN CONTEMPORAIN DE MARSEILLE
Artistes exposés | Exhibited artists: Caroline Corbasson | Jan Kopp | Koka Ramishvili | Jorge Otero-Pailhos 26 - 27 Août 2017
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LIGHT MACHINES
Koka Ramishvili 21 - 22 Juillet 2017Sculptures, photographies d'objets en mouvement et aquarelles aux contrastes tranchés, composent le parcours de l'exposition constituée exclusivement de nouvelles oeuvres. Poursuivant l'exploration des différentes possibilités de l'image, l'artiste capture et matérialise le mouvement de la lumière. Koka Ramishvili s'attache à des sujets en dehors de notre contemporanéité, telles les architectures peintes par Giorgo De Chirico ou celles de vestiges antiques, pour tisser entre ses oeuvres un dialogue nourri par la pluralité des médiums employés.Lire plus -
ARTISSIMA 2016, TURIN, ITALIE
4 - 6 Novembre 2016 -
ARTGENÈVE 2016
28 - 31 Janvier 2016 -
ARTISSIMA 2015, TURIN, ITALIE
7 - 8 Novembre 2015For Artissima, Koka Ramishvili questions one more time his pictural practice reactivating a fundamental artwork of 1990-1991, Gallery, exhibited at the Arnolfini Centre for Contemporary arts in Bristol. Realized at the moment where his native land, Georgia, undergoes quite hard the economic crisis and the civil war, this work also reflects the turning point of a page of the History - the end of Soviet Union and the independence of numerous states, including his. In these times of chaos and transformations, impossible for the artist to lock itself into his studio in front of the canvas and to paint. Gallery expresses the limit of the painting as regards the events and the quest of the truth. Playing with the void and the heap, it also embodies an artistic change for the artist who will dedicate himself during several years to photography and to video, two mediums closer to the reality.Lire plus
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OFFICIELLE 2015
LA TECTONIQUE DES PLAQUES 22 - 25 Octobre 2015Commissaire et texte: Audrey TeichmannLire plus
Notre projet d’espace d’exposition pour la FIAC Officielle offre de tourner le regard vers l’est de l’Europe, autour d’un duo : Angelika Markul (1977, Pologne) et Koka Ramashvili (1956, Géorgie). Le sens de cette rencontre est celui d’une tectonique des plaques : le glissement imperceptible d’œuvres-monuments, de territoires sombres, vers des lieux mémoriels communs, au profit de nouveaux champs de vision. Le travail des deux artistes autour d’images fragmentaires et fragmentées, ces narrations ou formes elliptiques, conduisent à l’abandon d’une sémantique de l’image restrictive, laissant à l’œil la liberté de combler l’écart interstitiel ménagé dans la matérialité même des pièces.
AUTOUR DES ŒUVRES
Un premier ensemble, frontal, est une composition d’œuvres inédites d’Angelika Markul : Sans titre (Bambi à Tchernobyl), réalisé en lien la vidéo éponyme (prix SAM pour l’art contemporain 2012).
Un ensemble de dessins est « commenté » par un 1986 en néon : l’année de la catastrophe nucléaire. Ce sont des images morcelées d’un voyage effectué en territoire interdit, sous haut danger de contamination. Placées sur un socle, sept sculptures - peaux d’animaux et de végétaux recouverts de cire noire - monumentalisent le dispositif mural.
Combiner de la sorte aplat et le relief place le spectateur au centre d’enjeux historiques, convoqués par des reliques transformées à la manière de la taxidermie : afin de faire œuvre de mémoire. La cire appliquée sur tous les matériaux – trait récurrent chez Angelika Markul – signe cette volonté de pérenniser ce qui n’est qu’événement.Tout comme dans la vidéo dont elle est une puissante déclinaison, cette série de pièces omet presque systématiquement le facteur humain, sinon en négatif. Même résultant d’une manipulation incontrôlée de forces naturelles, la catastrophe et son carnage apparaissent comme le jeu de forces souterraines, annihilant la possibilité d’une reconstitution de ce territoire morcelé qu’est devenu Pripiat. Sa coupure d’avec le reste du monde est comme une sentence d’exclusion après le désastre, et évoque un mouvement successif d’expansion et de repli, de tensions inversées, que le glissement de medium en medium infuse.
Un travail sur des forces sous-jacentes se fait également jour dans les œuvres de Koka Ramishvili. Deux peintures de la fin des années quatre-vingts, témoignage rare de l’une de ses plus fameuses périodes de production, quatre photographies, et un ensemble de sculptures inédites de 2015 seront présentées.
Auteur du pavillon géorgien de la Biennale de Venise en 2009, cet artiste pourtant rare en France poursuit ses recherches minutieuses autour des enjeux de la forme.
Ces enjeux apparaissent dans la lignée des artistes hantés par la question du châssis, de la toile comme support, surface, fenêtre. Deux toiles engagent une réflexion sur cette matérialité, et son possible contournement par l’ouverture de cadres dans le cadre. La conquête de la tridimensionnalité – débordement par-devant, percée vers l’arrière, trouve un contrepoint épuré dans les Lost Landscapes, sculptures et peintures au ras du sol ou au sol. La monochromie et l’abstraction côtoient le classicisme de la technique, hérité des peintres flamands.
La question des « blocs », du morcèlement, joue à plein, dans le volume ou l’évidement. C’est l’enjeu du simulacre – d’horizon, de radiation – que discutent ces œuvres, et qu’une série de photographies,les Ectoplasm Phenomena, continuent d’explorer. Ces falsifications d’images, superposant les couches de retouches, entament cette question, qui réunit l’œuvre entier de Koka Ramishvili : « Quel invisible est favorisé par quel visible ? » (Joerg Bader).
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ART-O-RAMA 2015
La Cartonnerie, Marseilles, France 29 Août 2015 -
AEROLAND
Koka Ramishvili 15 Janvier - 14 Mars 2015La galerie Laurence Bernard est heureuse de présenter Aeroland, la première exposition personnelle de l’artiste Koka Ramishvili avec la galerie. Aeroland regroupe une série de tableaux dans lesquels les préoccupations qui habitent les œuvres de l’artiste sont réunies. Poursuivant son travail de déconstruction de la peinture, Koka Ramishvili, en dialogue permanent avec l’histoire de l’art, nous propose une version de l’image telle que nous pourrions la voir dans le futur. Une représentation tronquée, comme fugitive, déplacée et qui tend à disparaître au bénéfice de la surface blanche qui l’accueille. La création de ce plan intermédiaire au sein de la toile incarne ici l’écart conceptuel existant entre réalité perçue et réalité vécue, révélant l’illusion de réel induit par la mimesis. Il devient l’élément à partir duquel se construit le paysage. La bordure fonctionne aussi comme un élément architectural qui lie l’espace du tableau à celui de la pièce. Dominé par la piste qui le traverse, l’aérodrome duplique le jeu éphémère des surfaces mis en place par Koka Ramishvili.Lire plus